C’est à quelques encablures de l’hôtel de ville, du bâtiment Mécano, du site « Sohier» – autant de témoins privilégiés de l’histoire passée de la ville, et en proue de mail témoin quant à lui de son histoire urbaine à venir, que l’équipement municipal élit domicile. Et c’est pour tirer parti d’une situation complexe, sur un terrain résiduel exposant de surcroît sa plus longue façade, au sud, sur les voies ferrées et autoroutières, qu’il choisit de s’offrir telle une balise urbaine. Mais c’est aussi tout en délicatesse, légèreté et transparence qu’il se décline, réussissant par ces dernières caractéristiques à capter l’attention. Une attention d’autant plus renforcée qu’il s’offre aussi quelques atours emblématiques et révélateurs des fonctions ici abritées.