Entre ville et parc, le quartier universitaire se tisse, la vie étudiante s’éveille… Entre architectures et structures paysagères – toutes réalisées en quelque dix années et toutes « signées » – un ultime îlot… qui, bien que dédié aux étudiants, se divise en deux opérations autonomes, avec au sud/ouest une « résidence » et au nord/est, ouvert sur le parc, une « maison ». Une maison qu’investissent bureaux associatifs et autres espaces de convivialité. Une maison qui, à la croisée des axes orthonormés du parc, ne pouvait échapper à la stricte morphologie du site, mais pouvait cependant prétendre – au regard de son programme – devenir le point de mire du « campus ». Radicale dans son implantation comme dans sa volumétrie, elle choisit de faire la différence. Elle devient repère. Revendique le statut de « folie » lovée dans son parc, de monolithe rouge-cuivré, de pavillon aussi hyper fonctionnel.